Centenaire Primo Levi 074

Code

CPL

Lieu

Paris, Fr

Typologie(s)

Scénographie,

Échelle

S

Maîtrise d'ouvrage

Association

Matériaux

Bois,

Mission

Complète,

Année

2019

Exposition orga­ni­sée par le Centre Primo Levi dans le cadre du cen­te­naire de la nais­sance de Primo Levi en 1919 à la mai­rie du 3ème arron­dis­se­ment de Paris.
L’espace accueillant l’événement est mar­qué par ses dorures répu­bli­caines. Notre inten­tion a été de trou­ver un lan­gage construc­tif per­met­tant de tran­cher avec cette envi­ron­ne­ment exu­bé­rant et démons­tra­tif, tout en étant juste dans la façon d’exprimer un sujet grave et uni­ver­sel.

L’usage d’un mon­tage qui connecte les sup­ports d’exposition entre eux sans fixa­tions (emboî­te­ment à la façon d’une chaîne) en tas­sots en bois facile à mani­pu­ler nous a paru expri­mer au mieux cette sim­pli­ci­té et immé­dia­te­té propre au pro­jet.

Groupement MOE :
Bunker Palace (Scénographe)
Wakeupdesign (Graphisme et signa­lé­tique)

Code

CPL

Lieu

Paris, Fr

Typologie(s)

Scénographie,

Échelle

S

Maîtrise d'ouvrage

Association

Matériaux

Bois,

Mission

Complète,

Année

2019

Exposition orga­ni­sée par le Centre Primo Levi dans le cadre du cen­te­naire de la nais­sance de Primo Levi en 1919 à la mai­rie du 3ème arron­dis­se­ment de Paris.
L’espace accueillant l’événement est mar­qué par ses dorures répu­bli­caines. Notre inten­tion a été de trou­ver un lan­gage construc­tif per­met­tant de tran­cher avec cette envi­ron­ne­ment exu­bé­rant et démons­tra­tif, tout en étant juste dans la façon d’exprimer un sujet grave et uni­ver­sel.

L’usage d’un mon­tage qui connecte les sup­ports d’exposition entre eux sans fixa­tions (emboî­te­ment à la façon d’une chaîne) en tas­sots en bois facile à mani­pu­ler nous a paru expri­mer au mieux cette sim­pli­ci­té et immé­dia­te­té propre au pro­jet.

Groupement MOE :
Bunker Palace (Scénographe)
Wakeupdesign (Graphisme et signa­lé­tique)

69e édition de « Jeune Création » 062

Code

JCR2

Lieu

Romainville, Fr

Typologie(s)

Scénographie,

Échelle

M

Maîtrise d'ouvrage

Association

Matériaux

Bois, Plâtre,

Mission

Complète,

Année

2020

Le pro­jet scé­no­gra­phique qui accom­pagne cette 69e édi­tion de Jeune Création fait face à deux pro­blé­ma­tiques. Tout d’abord, la nature du lieu, puisqu’il s’agit d’intervenir sur un ancien site indus­triel aux portes de Paris. Les espaces inves­tis par la Fondation Fiminco pos­sèdent en effet une iden­ti­té extrê­me­ment forte. Les murs de brique décré­pis, les pein­tures écaillées, dénu­dés et appa­rents, font de cette ancienne usine une sorte de ruine archi­tec­tu­rale bien éloi­gnée des stan­dards « White cube » d’aujourd’hui. Ensuite, l’articulation des trois volumes dédiés aux artistes par­ti­cipe de la com­plexi­té du pro­jet. Répartis sur trois niveaux, avec des hau­teurs de pla­fond très variables (plus de 10 m de hau­teur pour le pre­mier), ces volumes pos­sèdent cha­cun des carac­té­ris­tiques propres avec les­quelles il faut com­po­ser : des colonnes de béton mas­sives dans un espace pour­tant très ouvert, une aire lon­gi­ligne qui pose inévi­ta­ble­ment la ques­tion du par­cours, puis une enceinte plus étri­quée que l’on pour­rait com­pa­rer à une boîte.

La pré­sente scé­no­gra­phie consiste ain­si à s’appuyer sur le carac­tère hété­ro­gène du site – au niveau de l’agencement de ses espaces, mais aus­si au niveau de sa par­ti­cu­la­ri­té archi­tec­tu­rale – afin de res­ti­tuer un par­cours lisible et cohé­rent. Il s’est donc agi de sug­gé­rer une forme de conti­nui­té en pro­po­sant un sys­tème de module que l’on retrouve dans les trois espaces. Étant don­né la forte iden­ti­té du bâti­ment, ces modules, qui tiennent lieu de cimaises, sont pen­sés de manière à appor­ter une cer­taine légè­re­té aux espaces et au par­cours.

Code

JCR2

Lieu

Romainville, Fr

Typologie(s)

Scénographie,

Échelle

M

Maîtrise d'ouvrage

Association

Matériaux

Bois, Plâtre,

Mission

Complète,

Année

2020

Le pro­jet scé­no­gra­phique qui accom­pagne cette 69e édi­tion de Jeune Création fait face à deux pro­blé­ma­tiques. Tout d’abord, la nature du lieu, puisqu’il s’agit d’intervenir sur un ancien site indus­triel aux portes de Paris. Les espaces inves­tis par la Fondation Fiminco pos­sèdent en effet une iden­ti­té extrê­me­ment forte. Les murs de brique décré­pis, les pein­tures écaillées, dénu­dés et appa­rents, font de cette ancienne usine une sorte de ruine archi­tec­tu­rale bien éloi­gnée des stan­dards « White cube » d’aujourd’hui. Ensuite, l’articulation des trois volumes dédiés aux artistes par­ti­cipe de la com­plexi­té du pro­jet. Répartis sur trois niveaux, avec des hau­teurs de pla­fond très variables (plus de 10 m de hau­teur pour le pre­mier), ces volumes pos­sèdent cha­cun des carac­té­ris­tiques propres avec les­quelles il faut com­po­ser : des colonnes de béton mas­sives dans un espace pour­tant très ouvert, une aire lon­gi­ligne qui pose inévi­ta­ble­ment la ques­tion du par­cours, puis une enceinte plus étri­quée que l’on pour­rait com­pa­rer à une boîte.

La pré­sente scé­no­gra­phie consiste ain­si à s’appuyer sur le carac­tère hété­ro­gène du site – au niveau de l’agencement de ses espaces, mais aus­si au niveau de sa par­ti­cu­la­ri­té archi­tec­tu­rale – afin de res­ti­tuer un par­cours lisible et cohé­rent. Il s’est donc agi de sug­gé­rer une forme de conti­nui­té en pro­po­sant un sys­tème de module que l’on retrouve dans les trois espaces. Étant don­né la forte iden­ti­té du bâti­ment, ces modules, qui tiennent lieu de cimaises, sont pen­sés de manière à appor­ter une cer­taine légè­re­té aux espaces et au par­cours.

68e édition de « Jeune Création » 049

Code

JCR1

Lieu

Paris, Fr

Typologie(s)

Scénographie,

Échelle

M

Maîtrise d'ouvrage

Association

Matériaux

Bois,

Mission

Complète,

Année

2018

Ce pro­jet scé­no­gra­phique a repré­sen­té un double chal­lenge à nos yeux. Le pre­mier a été de trou­ver une réponse adap­tée à la pré­sen­ta­tion d’œuvres dans cette gale­rie au style XIXe siècle très mar­qué, et de ques­tion­ner la (re/de)contextualisation d’œuvres qui se veulent réso­lu­ment contem­po­raine. Le second a consis­té à faire une pro­po­si­tion scé­no­gra­phique en né connais­sant pas les artistes sélec­tion­nés et leurs œuvres. Pour cela il nous a fal­lu répondre avec un pro­jet avec un concept clair qui offrait une adap­ta­bi­li­té en termes d’usages et de confi­gu­ra­tions.

Le contexte de la gale­rie du Palais des Études des Beaux-Arts de Paris, avec sa monu­men­ta­li­té clas­sique assu­mée, nous a obli­gé à jouer avec la théâ­tra­li­té et la forte pré­sence de la trame au sol du lieu. Vouloir effa­cer ce lieu pour y expo­ser 38 artistes contem­po­rains aurait été une cause per­due. Pour cela nous avons choi­si de ren­for­cer cette théâ­tra­li­té et son décou­page en frag­men­tant les sup­ports d’exposition (‘white cube’), les assu­mant comme un décor de film après le tour­nage, et en assu­mant la face cachée de la scé­no­gra­phie (la face ‘behind the scene’). La frag­men­ta­tion des cimaises a été étu­diée dans le res­pect scru­pu­leux de la trame du sol très pré­sente dans ce lieu, et dans un sou­ci de clar­té construc­tive opti­mi­sée qui nous a per­mis de pro­po­ser des hau­teurs de cimaises adap­tées aux œuvres avec un détail d’assemblage unique. Cet aspect construc­tif nous a sem­blé impor­tant car il per­met d’ouvrir un dia­logue archi­tec­tu­ral inté­gré entre notre pro­po­si­tion scé­no­gra­phique et l’architecture du Palais des Etudes des Beaux-Arts.

Code

JCR1

Lieu

Paris, Fr

Typologie(s)

Scénographie,

Échelle

M

Maîtrise d'ouvrage

Association

Matériaux

Bois,

Mission

Complète,

Année

2018

Ce pro­jet scé­no­gra­phique a repré­sen­té un double chal­lenge à nos yeux. Le pre­mier a été de trou­ver une réponse adap­tée à la pré­sen­ta­tion d’œuvres dans cette gale­rie au style XIXe siècle très mar­qué, et de ques­tion­ner la (re/de)contextualisation d’œuvres qui se veulent réso­lu­ment contem­po­raine. Le second a consis­té à faire une pro­po­si­tion scé­no­gra­phique en né connais­sant pas les artistes sélec­tion­nés et leurs œuvres. Pour cela il nous a fal­lu répondre avec un pro­jet avec un concept clair qui offrait une adap­ta­bi­li­té en termes d’usages et de confi­gu­ra­tions.

Le contexte de la gale­rie du Palais des Études des Beaux-Arts de Paris, avec sa monu­men­ta­li­té clas­sique assu­mée, nous a obli­gé à jouer avec la théâ­tra­li­té et la forte pré­sence de la trame au sol du lieu. Vouloir effa­cer ce lieu pour y expo­ser 38 artistes contem­po­rains aurait été une cause per­due. Pour cela nous avons choi­si de ren­for­cer cette théâ­tra­li­té et son décou­page en frag­men­tant les sup­ports d’exposition (‘white cube’), les assu­mant comme un décor de film après le tour­nage, et en assu­mant la face cachée de la scé­no­gra­phie (la face ‘behind the scene’). La frag­men­ta­tion des cimaises a été étu­diée dans le res­pect scru­pu­leux de la trame du sol très pré­sente dans ce lieu, et dans un sou­ci de clar­té construc­tive opti­mi­sée qui nous a per­mis de pro­po­ser des hau­teurs de cimaises adap­tées aux œuvres avec un détail d’assemblage unique. Cet aspect construc­tif nous a sem­blé impor­tant car il per­met d’ouvrir un dia­logue archi­tec­tu­ral inté­gré entre notre pro­po­si­tion scé­no­gra­phique et l’architecture du Palais des Etudes des Beaux-Arts.