« la chambre chronoscopique »
Exposition du 4 février au 7 février 2016
Située dans une ruelle cachée et étroite, typiquement parisienne, la galerie Nivert-Carzon a depuis plusieurs années déjà bien fait son nid dans le centre-ville. Architecturalement, ce lieu m’évoque un « cadre blanc » : sa façade immaculée, ses moulures très modernes, ses deux vitrines symétriques et ondulées comme art déco, son entrée étroite montrant le chemin vers l’intérieur blanc…
En poussant la porte de la galerie, les artistes réfléchissent sur la relation entre leurs travaux et le lieu de l’exposition. L’observation spatiale des artistes et leurs univers créatifs propres font renaître à chaque fois la galerie sous une nouvelle forme, sous un aspect toujours différent, ouvrant également la porte à une pensée sur le lien entre la galerie et l’artiste, l’artiste et l’œuvre, l’œuvre et la galerie, la galerie et la ville… Mise en perspective d’un lieu, mise en abîme de son passé.
« Il né redevient jamais “neutre” comme le “White cube”, ni né retrouve son identité précédente, mais il reste toujours là prêt pour une nouvelle aventure, en attendant que le prochain artiste l’interprète, que la prochaine œuvre le caractérise, qu’elle transforme. »
Lorenzo Benedetti, « Volume 1997 … aujourd’hui », SilvanaEditoriale, 2015
La galerie accueillera en son sein un nouveau modèle de sa propre façade nous donnant l’impression de traverser ce cadre blanc géant et offrant aux promeneurs l’occasion de contempler à nouveau certaines des œuvres des précédentes expositions de la galerie, telle une captation d’événements passés associés au lieu, réapparaissant sous la forme de chambres mémorielles.
Code
NIC
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Installation,
Échelle
S
Maîtrise d'ouvrage
Particulier
Matériaux
Carton, Textile, Papier,
Mission
Complète,
Année
2015
« la chambre chronoscopique »
Exposition du 4 février au 7 février 2016
Située dans une ruelle cachée et étroite, typiquement parisienne, la galerie Nivert-Carzon a depuis plusieurs années déjà bien fait son nid dans le centre-ville. Architecturalement, ce lieu m’évoque un « cadre blanc » : sa façade immaculée, ses moulures très modernes, ses deux vitrines symétriques et ondulées comme art déco, son entrée étroite montrant le chemin vers l’intérieur blanc…
En poussant la porte de la galerie, les artistes réfléchissent sur la relation entre leurs travaux et le lieu de l’exposition. L’observation spatiale des artistes et leurs univers créatifs propres font renaître à chaque fois la galerie sous une nouvelle forme, sous un aspect toujours différent, ouvrant également la porte à une pensée sur le lien entre la galerie et l’artiste, l’artiste et l’œuvre, l’œuvre et la galerie, la galerie et la ville… Mise en perspective d’un lieu, mise en abîme de son passé.
« Il né redevient jamais “neutre” comme le “White cube”, ni né retrouve son identité précédente, mais il reste toujours là prêt pour une nouvelle aventure, en attendant que le prochain artiste l’interprète, que la prochaine œuvre le caractérise, qu’elle transforme. »
Lorenzo Benedetti, « Volume 1997 … aujourd’hui », SilvanaEditoriale, 2015
La galerie accueillera en son sein un nouveau modèle de sa propre façade nous donnant l’impression de traverser ce cadre blanc géant et offrant aux promeneurs l’occasion de contempler à nouveau certaines des œuvres des précédentes expositions de la galerie, telle une captation d’événements passés associés au lieu, réapparaissant sous la forme de chambres mémorielles.