Do you speak PyeongChang ? 032

Code

LAU

Lieu

Lausanne, Ch

Typologie(s)

Scénographie,

Échelle

M

Maîtrise d'ouvrage

Fondation

Matériaux

Bois, Papier,

Mission

Complète,

Année

2018

Lauréat du concours de scé­no­gra­phie de expo­si­tion « Passions Connected » en Décembre 2016, la pro­po­si­tion de Bunker-Palace repose avant tout sur un savant mélange entre tra­di­tion et moder­ni­té Coréenne en y insé­rant une sélec­tion de pro­duc­tion d’oeuvres et d’installations artis­tiques contem­po­raines. Une grande par­tie de la scé­no­gra­phie reprend notam­ment des prin­cipe de tra­mage du bois tra­di­tion­nel ou le prin­cipe du dra­peau ver­ti­cal en signa­lé­tique. L’utilisation de la pro­jec­tion pour une grande part du conte­nu de expo­si­tion et la créa­tion d’une visite « connec­tée » pour le visi­teur donnent à per­ce­voir au visi­teur l’aspect à la pointe du hi-tech de la Corée du Sud.

Collaborateurs :
KAA (mul­ti­me­dia)
CL Design (gra­phisme)

Code

LAU

Lieu

Lausanne, Ch

Typologie(s)

Scénographie,

Échelle

M

Maîtrise d'ouvrage

Fondation

Matériaux

Bois, Papier,

Mission

Complète,

Année

2018

Lauréat du concours de scé­no­gra­phie de expo­si­tion « Passions Connected » en Décembre 2016, la pro­po­si­tion de Bunker-Palace repose avant tout sur un savant mélange entre tra­di­tion et moder­ni­té Coréenne en y insé­rant une sélec­tion de pro­duc­tion d’oeuvres et d’installations artis­tiques contem­po­raines. Une grande par­tie de la scé­no­gra­phie reprend notam­ment des prin­cipe de tra­mage du bois tra­di­tion­nel ou le prin­cipe du dra­peau ver­ti­cal en signa­lé­tique. L’utilisation de la pro­jec­tion pour une grande part du conte­nu de expo­si­tion et la créa­tion d’une visite « connec­tée » pour le visi­teur donnent à per­ce­voir au visi­teur l’aspect à la pointe du hi-tech de la Corée du Sud.

Collaborateurs :
KAA (mul­ti­me­dia)
CL Design (gra­phisme)

Chambre Chronoscopique 005

Code

NIC

Lieu

Paris, Fr

Typologie(s)

Installation,

Échelle

S

Maîtrise d'ouvrage

Particulier

Matériaux

Carton, Textile, Papier,

Mission

Complète,

Année

2015

« la chambre chro­no­sco­pique »
Exposition du 4 février au 7 février 2016

Située dans une ruelle cachée et étroite, typi­que­ment pari­sienne, la gale­rie Nivert-Carzon a depuis plu­sieurs années déjà bien fait son nid dans le centre-ville. Architecturalement, ce lieu m’évoque un « cadre blanc » : sa façade imma­cu­lée, ses mou­lures très modernes, ses deux vitrines symé­triques et ondu­lées comme art déco, son entrée étroite mon­trant le che­min vers l’intérieur blanc…
En pous­sant la porte de la gale­rie, les artistes réflé­chissent sur la rela­tion entre leurs tra­vaux et le lieu de l’exposition. L’observation spa­tiale des artistes et leurs uni­vers créa­tifs propres font renaître à chaque fois la gale­rie sous une nou­velle forme, sous un aspect tou­jours dif­fé­rent, ouvrant éga­le­ment la porte à une pen­sée sur le lien entre la gale­rie et l’artiste, l’artiste et l’œuvre, l’œuvre et la gale­rie, la gale­rie et la ville… Mise en pers­pec­tive d’un lieu, mise en abîme de son pas­sé.

« Il né rede­vient jamais “neutre” comme le “White cube”, ni né retrouve son iden­ti­té pré­cé­dente, mais il reste tou­jours là prêt pour une nou­velle aven­ture, en atten­dant que le pro­chain artiste l’interprète, que la pro­chaine œuvre le carac­té­rise, qu’elle trans­forme. »
Lorenzo Benedetti, « Volume 1997 … aujourd’hui », SilvanaEditoriale, 2015

La gale­rie accueille­ra en son sein un nou­veau modèle de sa propre façade nous don­nant l’impression de tra­ver­ser ce cadre blanc géant et offrant aux pro­me­neurs l’occasion de contem­pler à nou­veau cer­taines des œuvres des pré­cé­dentes expo­si­tions de la gale­rie, telle une cap­ta­tion d’événements pas­sés asso­ciés au lieu, réap­pa­rais­sant sous la forme de chambres mémo­rielles.

Code

NIC

Lieu

Paris, Fr

Typologie(s)

Installation,

Échelle

S

Maîtrise d'ouvrage

Particulier

Matériaux

Carton, Textile, Papier,

Mission

Complète,

Année

2015

« la chambre chro­no­sco­pique »
Exposition du 4 février au 7 février 2016

Située dans une ruelle cachée et étroite, typi­que­ment pari­sienne, la gale­rie Nivert-Carzon a depuis plu­sieurs années déjà bien fait son nid dans le centre-ville. Architecturalement, ce lieu m’évoque un « cadre blanc » : sa façade imma­cu­lée, ses mou­lures très modernes, ses deux vitrines symé­triques et ondu­lées comme art déco, son entrée étroite mon­trant le che­min vers l’intérieur blanc…
En pous­sant la porte de la gale­rie, les artistes réflé­chissent sur la rela­tion entre leurs tra­vaux et le lieu de l’exposition. L’observation spa­tiale des artistes et leurs uni­vers créa­tifs propres font renaître à chaque fois la gale­rie sous une nou­velle forme, sous un aspect tou­jours dif­fé­rent, ouvrant éga­le­ment la porte à une pen­sée sur le lien entre la gale­rie et l’artiste, l’artiste et l’œuvre, l’œuvre et la gale­rie, la gale­rie et la ville… Mise en pers­pec­tive d’un lieu, mise en abîme de son pas­sé.

« Il né rede­vient jamais “neutre” comme le “White cube”, ni né retrouve son iden­ti­té pré­cé­dente, mais il reste tou­jours là prêt pour une nou­velle aven­ture, en atten­dant que le pro­chain artiste l’interprète, que la pro­chaine œuvre le carac­té­rise, qu’elle trans­forme. »
Lorenzo Benedetti, « Volume 1997 … aujourd’hui », SilvanaEditoriale, 2015

La gale­rie accueille­ra en son sein un nou­veau modèle de sa propre façade nous don­nant l’impression de tra­ver­ser ce cadre blanc géant et offrant aux pro­me­neurs l’occasion de contem­pler à nou­veau cer­taines des œuvres des pré­cé­dentes expo­si­tions de la gale­rie, telle une cap­ta­tion d’événements pas­sés asso­ciés au lieu, réap­pa­rais­sant sous la forme de chambres mémo­rielles.