Exposition organisée par le Centre Primo Levi dans le cadre du centenaire de la naissance de Primo Levi en 1919 à la mairie du 3ème arrondissement de Paris.
L’espace accueillant l’événement est marqué par ses dorures républicaines. Notre intention a été de trouver un langage constructif permettant de trancher avec cette environnement exubérant et démonstratif, tout en étant juste dans la façon d’exprimer un sujet grave et universel.
L’usage d’un montage qui connecte les supports d’exposition entre eux sans fixations (emboîtement à la façon d’une chaîne) en tassots en bois facile à manipuler nous a paru exprimer au mieux cette simplicité et immédiateté propre au projet.
Groupement MOE :
Bunker Palace (Scénographe)
Wakeupdesign (Graphisme et signalétique)
Code
CPL
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
S
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois,
Mission
Complète,
Année
2019
Exposition organisée par le Centre Primo Levi dans le cadre du centenaire de la naissance de Primo Levi en 1919 à la mairie du 3ème arrondissement de Paris.
L’espace accueillant l’événement est marqué par ses dorures républicaines. Notre intention a été de trouver un langage constructif permettant de trancher avec cette environnement exubérant et démonstratif, tout en étant juste dans la façon d’exprimer un sujet grave et universel.
L’usage d’un montage qui connecte les supports d’exposition entre eux sans fixations (emboîtement à la façon d’une chaîne) en tassots en bois facile à manipuler nous a paru exprimer au mieux cette simplicité et immédiateté propre au projet.
Groupement MOE :
Bunker Palace (Scénographe)
Wakeupdesign (Graphisme et signalétique)
69e édition de « Jeune Création » 062
Code
JCR2
Lieu
Romainville, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois, Plâtre,
Mission
Complète,
Année
2020
Le projet scénographique qui accompagne cette 69e édition de Jeune Création fait face à deux problématiques. Tout d’abord, la nature du lieu, puisqu’il s’agit d’intervenir sur un ancien site industriel aux portes de Paris. Les espaces investis par la Fondation Fiminco possèdent en effet une identité extrêmement forte. Les murs de brique décrépis, les peintures écaillées, dénudés et apparents, font de cette ancienne usine une sorte de ruine architecturale bien éloignée des standards « White cube » d’aujourd’hui. Ensuite, l’articulation des trois volumes dédiés aux artistes participe de la complexité du projet. Répartis sur trois niveaux, avec des hauteurs de plafond très variables (plus de 10 m de hauteur pour le premier), ces volumes possèdent chacun des caractéristiques propres avec lesquelles il faut composer : des colonnes de béton massives dans un espace pourtant très ouvert, une aire longiligne qui pose inévitablement la question du parcours, puis une enceinte plus étriquée que l’on pourrait comparer à une boîte.
La présente scénographie consiste ainsi à s’appuyer sur le caractère hétérogène du site – au niveau de l’agencement de ses espaces, mais aussi au niveau de sa particularité architecturale – afin de restituer un parcours lisible et cohérent. Il s’est donc agi de suggérer une forme de continuité en proposant un système de module que l’on retrouve dans les trois espaces. Étant donné la forte identité du bâtiment, ces modules, qui tiennent lieu de cimaises, sont pensés de manière à apporter une certaine légèreté aux espaces et au parcours.
Code
JCR2
Lieu
Romainville, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois, Plâtre,
Mission
Complète,
Année
2020
Le projet scénographique qui accompagne cette 69e édition de Jeune Création fait face à deux problématiques. Tout d’abord, la nature du lieu, puisqu’il s’agit d’intervenir sur un ancien site industriel aux portes de Paris. Les espaces investis par la Fondation Fiminco possèdent en effet une identité extrêmement forte. Les murs de brique décrépis, les peintures écaillées, dénudés et apparents, font de cette ancienne usine une sorte de ruine architecturale bien éloignée des standards « White cube » d’aujourd’hui. Ensuite, l’articulation des trois volumes dédiés aux artistes participe de la complexité du projet. Répartis sur trois niveaux, avec des hauteurs de plafond très variables (plus de 10 m de hauteur pour le premier), ces volumes possèdent chacun des caractéristiques propres avec lesquelles il faut composer : des colonnes de béton massives dans un espace pourtant très ouvert, une aire longiligne qui pose inévitablement la question du parcours, puis une enceinte plus étriquée que l’on pourrait comparer à une boîte.
La présente scénographie consiste ainsi à s’appuyer sur le caractère hétérogène du site – au niveau de l’agencement de ses espaces, mais aussi au niveau de sa particularité architecturale – afin de restituer un parcours lisible et cohérent. Il s’est donc agi de suggérer une forme de continuité en proposant un système de module que l’on retrouve dans les trois espaces. Étant donné la forte identité du bâtiment, ces modules, qui tiennent lieu de cimaises, sont pensés de manière à apporter une certaine légèreté aux espaces et au parcours.
Manga 067
Code
LAU2
Lieu
Lausanne, Ch
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Fondation
Matériaux
Bois, Médium, Miroir, Textile,
Mission
Concours,
Année
2019
L’exposition se déploie dans 4 espaces différents du Musée Olympique de Lausanne : Focus, Galerie, Art Lounge et le Parc.
Cette discontinuité met en évidence un travail en thématique, chaque espace ayant une ambiance et une fonction propre, tout en étant relié par des caractéristiques reconnaissables en termes de matérialité, avec une signalétique claire et une proposition de parcours depuis l’espace accueil qui donne au visiteur venu pour l’exposition permanente la volonté de découvrir et d’en savoir plus sur la prochaine olympiade et sur le pays qui l’accueillera.
Afin de s’immerger dans la culture et l’esprit sportif et olympique du Japon, le manga est un vecteur de connaissance aux formes multiples. Les supports imprimés, projetés ou animés auront leur importance, mais il sera aussi passionnant de découvrir et d’apprendre via des espaces immersifs thématiques dans lesquels les visiteurs expérimenteront à l’échelle de la page, du livre, de la pièce à vivre, de la maison, de la rue ou de la ville Japonaise, au travers de figures-clé de héros sportifs du manga qui ont marqué les générations européennes et imprégné notre mémoire. Il s’agit également d’allier plaisir et connaissance au travers d’une expérience intégrale, lors de laquelle il est possible de découvrir les relations particulières qu’entretiennent les Japonais avec les traditions, la nature, les saisons, l’école, la cuisine, la ville du futur ou encore la robotique. Il semble en cela intéressant d’ouvrir les sujets au maximum afin d’augmenter l’expérience visiteur et de l’adapter comme il se doit à la belle saison estivale en enrichissant le parc de zones confortables et ludiques.
L’exposition se déploie dans 4 espaces différents du Musée Olympique de Lausanne : Focus, Galerie, Art Lounge et le Parc.
Cette discontinuité met en évidence un travail en thématique, chaque espace ayant une ambiance et une fonction propre, tout en étant relié par des caractéristiques reconnaissables en termes de matérialité, avec une signalétique claire et une proposition de parcours depuis l’espace accueil qui donne au visiteur venu pour l’exposition permanente la volonté de découvrir et d’en savoir plus sur la prochaine olympiade et sur le pays qui l’accueillera.
Afin de s’immerger dans la culture et l’esprit sportif et olympique du Japon, le manga est un vecteur de connaissance aux formes multiples. Les supports imprimés, projetés ou animés auront leur importance, mais il sera aussi passionnant de découvrir et d’apprendre via des espaces immersifs thématiques dans lesquels les visiteurs expérimenteront à l’échelle de la page, du livre, de la pièce à vivre, de la maison, de la rue ou de la ville Japonaise, au travers de figures-clé de héros sportifs du manga qui ont marqué les générations européennes et imprégné notre mémoire. Il s’agit également d’allier plaisir et connaissance au travers d’une expérience intégrale, lors de laquelle il est possible de découvrir les relations particulières qu’entretiennent les Japonais avec les traditions, la nature, les saisons, l’école, la cuisine, la ville du futur ou encore la robotique. Il semble en cela intéressant d’ouvrir les sujets au maximum afin d’augmenter l’expérience visiteur et de l’adapter comme il se doit à la belle saison estivale en enrichissant le parc de zones confortables et ludiques.
Exposition itinérante dans le Train-Expo de la SNCF retraçant les 80 ans d’évolutions et de transformation de la SNCF au travers de 6 wagons thématiques qui explorent passé et futur du réseau ferroviaire en France et dans le monde.
Groupement MOE :
Bunker Palace (Scénographe) KAA (Multimédia et audiovisuel) CL design (Graphisme et signalétique)
IDScène (Fabrication et installation)
Code
TEX
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Publique
Matériaux
Bois, Métal, Verre, Plexiglass,
Mission
Complète,
Année
2018
Exposition itinérante dans le Train-Expo de la SNCF retraçant les 80 ans d’évolutions et de transformation de la SNCF au travers de 6 wagons thématiques qui explorent passé et futur du réseau ferroviaire en France et dans le monde.
Groupement MOE :
Bunker Palace (Scénographe) KAA (Multimédia et audiovisuel) CL design (Graphisme et signalétique)
IDScène (Fabrication et installation)
68e édition de « Jeune Création » 049
Code
JCR1
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois,
Mission
Complète,
Année
2018
Ce projet scénographique a représenté un double challenge à nos yeux. Le premier a été de trouver une réponse adaptée à la présentation d’œuvres dans cette galerie au style XIXe siècle très marqué, et de questionner la (re/de)contextualisation d’œuvres qui se veulent résolument contemporaine. Le second a consisté à faire une proposition scénographique en né connaissant pas les artistes sélectionnés et leurs œuvres. Pour cela il nous a fallu répondre avec un projet avec un concept clair qui offrait une adaptabilité en termes d’usages et de configurations.
Le contexte de la galerie du Palais des Études des Beaux-Arts de Paris, avec sa monumentalité classique assumée, nous a obligé à jouer avec la théâtralité et la forte présence de la trame au sol du lieu. Vouloir effacer ce lieu pour y exposer 38 artistes contemporains aurait été une cause perdue. Pour cela nous avons choisi de renforcer cette théâtralité et son découpage en fragmentant les supports d’exposition (‘white cube’), les assumant comme un décor de film après le tournage, et en assumant la face cachée de la scénographie (la face ‘behind the scene’). La fragmentation des cimaises a été étudiée dans le respect scrupuleux de la trame du sol très présente dans ce lieu, et dans un souci de clarté constructive optimisée qui nous a permis de proposer des hauteurs de cimaises adaptées aux œuvres avec un détail d’assemblage unique. Cet aspect constructif nous a semblé important car il permet d’ouvrir un dialogue architectural intégré entre notre proposition scénographique et l’architecture du Palais des Etudes des Beaux-Arts.
Code
JCR1
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois,
Mission
Complète,
Année
2018
Ce projet scénographique a représenté un double challenge à nos yeux. Le premier a été de trouver une réponse adaptée à la présentation d’œuvres dans cette galerie au style XIXe siècle très marqué, et de questionner la (re/de)contextualisation d’œuvres qui se veulent résolument contemporaine. Le second a consisté à faire une proposition scénographique en né connaissant pas les artistes sélectionnés et leurs œuvres. Pour cela il nous a fallu répondre avec un projet avec un concept clair qui offrait une adaptabilité en termes d’usages et de configurations.
Le contexte de la galerie du Palais des Études des Beaux-Arts de Paris, avec sa monumentalité classique assumée, nous a obligé à jouer avec la théâtralité et la forte présence de la trame au sol du lieu. Vouloir effacer ce lieu pour y exposer 38 artistes contemporains aurait été une cause perdue. Pour cela nous avons choisi de renforcer cette théâtralité et son découpage en fragmentant les supports d’exposition (‘white cube’), les assumant comme un décor de film après le tournage, et en assumant la face cachée de la scénographie (la face ‘behind the scene’). La fragmentation des cimaises a été étudiée dans le respect scrupuleux de la trame du sol très présente dans ce lieu, et dans un souci de clarté constructive optimisée qui nous a permis de proposer des hauteurs de cimaises adaptées aux œuvres avec un détail d’assemblage unique. Cet aspect constructif nous a semblé important car il permet d’ouvrir un dialogue architectural intégré entre notre proposition scénographique et l’architecture du Palais des Etudes des Beaux-Arts.
Do you speak PyeongChang ? 032
Code
LAU
Lieu
Lausanne, Ch
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Fondation
Matériaux
Bois, Papier,
Mission
Complète,
Année
2018
Lauréat du concours de scénographie de exposition « Passions Connected » en Décembre 2016, la proposition de Bunker-Palace repose avant tout sur un savant mélange entre tradition et modernité Coréenne en y insérant une sélection de production d’oeuvres et d’installations artistiques contemporaines. Une grande partie de la scénographie reprend notamment des principe de tramage du bois traditionnel ou le principe du drapeau vertical en signalétique. L’utilisation de la projection pour une grande part du contenu de exposition et la création d’une visite « connectée » pour le visiteur donnent à percevoir au visiteur l’aspect à la pointe du hi-tech de la Corée du Sud.
Lauréat du concours de scénographie de exposition « Passions Connected » en Décembre 2016, la proposition de Bunker-Palace repose avant tout sur un savant mélange entre tradition et modernité Coréenne en y insérant une sélection de production d’oeuvres et d’installations artistiques contemporaines. Une grande partie de la scénographie reprend notamment des principe de tramage du bois traditionnel ou le principe du drapeau vertical en signalétique. L’utilisation de la projection pour une grande part du contenu de exposition et la création d’une visite « connectée » pour le visiteur donnent à percevoir au visiteur l’aspect à la pointe du hi-tech de la Corée du Sud.