Béton, Bois, Brique de verre, Métal, Miroir, Plâtre,
Mission
Complète,
Année
2021
La restructuration et la rénovation d’un immeuble haussmannien rue Alfred de Vigny, la création d’une terrasse végétale et le réaménagements intérieurs.
Béton, Bois, Brique de verre, Métal, Miroir, Plâtre,
Mission
Complète,
Année
2021
La restructuration et la rénovation d’un immeuble haussmannien rue Alfred de Vigny, la création d’une terrasse végétale et le réaménagements intérieurs.
Le projet concerne un immeuble originalement bâti en R+2 datant des années 1930, au 18 rue Danville dans le 14e arrondissement de Paris.
Une première extension de l’immeuble a été effectuée au début des annés 1990 avec l’ajout d’un niveau et la création d’un balcon en R+1 en façade arrière.
Le projet concerne une nouvelle extension visant l’ajout de 2 chambres pour enfant et d’espaces de vie en extérieur par la création d’un nouveau balcon sur rue en R+4, d’un nouveau
toit-terrasse en R+5 et en intégrant le balcon existant au R+1 côté cour par la création d’un plancher en verre offrant plus de lumière naturelle au Rdc.
Nous souhaitons revenir à une unité esthétique propre au projet original, en privilégiant une surélévation en maçonnerie (bien que la structure de la surélévation soit en ossature bois), une continuité de l’enduit en façade rue et un souhait initial d’une unité du dessin des garde-corps en ferronnerie parisienne (non réalisé à ce jour). Nous privilégions ainsi la géométrie picturale (avancée en triangle) du projet initial en renforçant l’avancée maçonnée existante au R+2 jusqu’au R+4 afin de garder cette caractéristique forte datant du projet des années 30 tout en y intégrant de façon urbainement intégrée 2 espaces extérieurs à vivre.
Code
DAN
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Habitat individuel,
Échelle
S
Maîtrise d'ouvrage
Particulier
Matériaux
Bois, Plâtre, Verre, Métal,
Mission
PC,
Année
2018
Le projet concerne un immeuble originalement bâti en R+2 datant des années 1930, au 18 rue Danville dans le 14e arrondissement de Paris.
Une première extension de l’immeuble a été effectuée au début des annés 1990 avec l’ajout d’un niveau et la création d’un balcon en R+1 en façade arrière.
Le projet concerne une nouvelle extension visant l’ajout de 2 chambres pour enfant et d’espaces de vie en extérieur par la création d’un nouveau balcon sur rue en R+4, d’un nouveau
toit-terrasse en R+5 et en intégrant le balcon existant au R+1 côté cour par la création d’un plancher en verre offrant plus de lumière naturelle au Rdc.
Nous souhaitons revenir à une unité esthétique propre au projet original, en privilégiant une surélévation en maçonnerie (bien que la structure de la surélévation soit en ossature bois), une continuité de l’enduit en façade rue et un souhait initial d’une unité du dessin des garde-corps en ferronnerie parisienne (non réalisé à ce jour). Nous privilégions ainsi la géométrie picturale (avancée en triangle) du projet initial en renforçant l’avancée maçonnée existante au R+2 jusqu’au R+4 afin de garder cette caractéristique forte datant du projet des années 30 tout en y intégrant de façon urbainement intégrée 2 espaces extérieurs à vivre.
Musée des Arts Décoratifs 079
Code
MAD
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Bureau,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Société privée
Matériaux
Bois, Plâtre, Textile, Verre,
Mission
Complète,
Année
En cours
Le volume offert par la Bulle sous cette généreuse verrière nous a paru vouloir respirer et se libérer de son actuel aménagement en cellules autonomes.
Et le programme sous son apparente simplicité d’aménagement de bureau nous a paru offrir une certaine complexité au regard des qualités et contraintes offertes par le volume.
Nous avons pour cela imaginé un aménagement central au niveau R+6, une architecture/meuble posée au sol et décollée des murs. Elle nous permet, par sa centralité, la définition des différentes zones de travail sur tout son pourtour ainsi que d’offrir des possibilités de circulation et de co-visibilité intéressante.
Le volume offert par la Bulle sous cette généreuse verrière nous a paru vouloir respirer et se libérer de son actuel aménagement en cellules autonomes.
Et le programme sous son apparente simplicité d’aménagement de bureau nous a paru offrir une certaine complexité au regard des qualités et contraintes offertes par le volume.
Nous avons pour cela imaginé un aménagement central au niveau R+6, une architecture/meuble posée au sol et décollée des murs. Elle nous permet, par sa centralité, la définition des différentes zones de travail sur tout son pourtour ainsi que d’offrir des possibilités de circulation et de co-visibilité intéressante.
Notre point de départ pour ce projet est venu de 2 constats :
– La qualité de l’espace disponible, sa profondeur, son éclairage naturel continu en façade Nord,
– la trame du bâtiment, et notamment la trame de 90×90 en façade et plafond, ainsi que la trame structurelle aérée.
Ces 2 points nous ont incité à travailler le projet dans la profondeur, créant des aspira-tions visuelles depuis la façade rue (intéressant d’un point vue de l’image de l’école depuis l’extérieur) et du point de vue de l’accueil, créant une impression d’élargissement de l’espace. Nous avons aussi travaillé la transversalité du projet en dégradant la hauteur des futurs aménagements afin de bénéficier le plus profondément possible dans le volume de cet éclai-rage naturel diffus très qualitatif, et en préservant la dispositif actuel des rails au plafond.
Code
CAM
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Bibliothèque,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Société privée
Matériaux
Bois, Médium, Métal, Miroir,
Mission
Concours,
Année
2020
Notre point de départ pour ce projet est venu de 2 constats :
– La qualité de l’espace disponible, sa profondeur, son éclairage naturel continu en façade Nord,
– la trame du bâtiment, et notamment la trame de 90×90 en façade et plafond, ainsi que la trame structurelle aérée.
Ces 2 points nous ont incité à travailler le projet dans la profondeur, créant des aspira-tions visuelles depuis la façade rue (intéressant d’un point vue de l’image de l’école depuis l’extérieur) et du point de vue de l’accueil, créant une impression d’élargissement de l’espace. Nous avons aussi travaillé la transversalité du projet en dégradant la hauteur des futurs aménagements afin de bénéficier le plus profondément possible dans le volume de cet éclai-rage naturel diffus très qualitatif, et en préservant la dispositif actuel des rails au plafond.
Centenaire Primo Levi 074
Code
CPL
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
S
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois,
Mission
Complète,
Année
2019
Exposition organisée par le Centre Primo Levi dans le cadre du centenaire de la naissance de Primo Levi en 1919 à la mairie du 3ème arrondissement de Paris.
L’espace accueillant l’événement est marqué par ses dorures républicaines. Notre intention a été de trouver un langage constructif permettant de trancher avec cette environnement exubérant et démonstratif, tout en étant juste dans la façon d’exprimer un sujet grave et universel.
L’usage d’un montage qui connecte les supports d’exposition entre eux sans fixations (emboîtement à la façon d’une chaîne) en tassots en bois facile à manipuler nous a paru exprimer au mieux cette simplicité et immédiateté propre au projet.
Groupement MOE :
Bunker Palace (Scénographe)
Wakeupdesign (Graphisme et signalétique)
Code
CPL
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
S
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois,
Mission
Complète,
Année
2019
Exposition organisée par le Centre Primo Levi dans le cadre du centenaire de la naissance de Primo Levi en 1919 à la mairie du 3ème arrondissement de Paris.
L’espace accueillant l’événement est marqué par ses dorures républicaines. Notre intention a été de trouver un langage constructif permettant de trancher avec cette environnement exubérant et démonstratif, tout en étant juste dans la façon d’exprimer un sujet grave et universel.
L’usage d’un montage qui connecte les supports d’exposition entre eux sans fixations (emboîtement à la façon d’une chaîne) en tassots en bois facile à manipuler nous a paru exprimer au mieux cette simplicité et immédiateté propre au projet.
Groupement MOE :
Bunker Palace (Scénographe)
Wakeupdesign (Graphisme et signalétique)
Morabito 066
Code
MOR
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Commerce,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Société privée
Matériaux
Bois, Métal, Miroir, Pierre, Verre,
Mission
Architecte d'exécution,
Année
En cours
Création de la boutique Morabito rue Saint – Honoré
Code
MOR
Lieu
Paris, Fr
Typologie(s)
Commerce,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Société privée
Matériaux
Bois, Métal, Miroir, Pierre, Verre,
Mission
Architecte d'exécution,
Année
En cours
Création de la boutique Morabito rue Saint – Honoré
69e édition de « Jeune Création » 062
Code
JCR2
Lieu
Romainville, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois, Plâtre,
Mission
Complète,
Année
2020
Le projet scénographique qui accompagne cette 69e édition de Jeune Création fait face à deux problématiques. Tout d’abord, la nature du lieu, puisqu’il s’agit d’intervenir sur un ancien site industriel aux portes de Paris. Les espaces investis par la Fondation Fiminco possèdent en effet une identité extrêmement forte. Les murs de brique décrépis, les peintures écaillées, dénudés et apparents, font de cette ancienne usine une sorte de ruine architecturale bien éloignée des standards « White cube » d’aujourd’hui. Ensuite, l’articulation des trois volumes dédiés aux artistes participe de la complexité du projet. Répartis sur trois niveaux, avec des hauteurs de plafond très variables (plus de 10 m de hauteur pour le premier), ces volumes possèdent chacun des caractéristiques propres avec lesquelles il faut composer : des colonnes de béton massives dans un espace pourtant très ouvert, une aire longiligne qui pose inévitablement la question du parcours, puis une enceinte plus étriquée que l’on pourrait comparer à une boîte.
La présente scénographie consiste ainsi à s’appuyer sur le caractère hétérogène du site – au niveau de l’agencement de ses espaces, mais aussi au niveau de sa particularité architecturale – afin de restituer un parcours lisible et cohérent. Il s’est donc agi de suggérer une forme de continuité en proposant un système de module que l’on retrouve dans les trois espaces. Étant donné la forte identité du bâtiment, ces modules, qui tiennent lieu de cimaises, sont pensés de manière à apporter une certaine légèreté aux espaces et au parcours.
Code
JCR2
Lieu
Romainville, Fr
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Association
Matériaux
Bois, Plâtre,
Mission
Complète,
Année
2020
Le projet scénographique qui accompagne cette 69e édition de Jeune Création fait face à deux problématiques. Tout d’abord, la nature du lieu, puisqu’il s’agit d’intervenir sur un ancien site industriel aux portes de Paris. Les espaces investis par la Fondation Fiminco possèdent en effet une identité extrêmement forte. Les murs de brique décrépis, les peintures écaillées, dénudés et apparents, font de cette ancienne usine une sorte de ruine architecturale bien éloignée des standards « White cube » d’aujourd’hui. Ensuite, l’articulation des trois volumes dédiés aux artistes participe de la complexité du projet. Répartis sur trois niveaux, avec des hauteurs de plafond très variables (plus de 10 m de hauteur pour le premier), ces volumes possèdent chacun des caractéristiques propres avec lesquelles il faut composer : des colonnes de béton massives dans un espace pourtant très ouvert, une aire longiligne qui pose inévitablement la question du parcours, puis une enceinte plus étriquée que l’on pourrait comparer à une boîte.
La présente scénographie consiste ainsi à s’appuyer sur le caractère hétérogène du site – au niveau de l’agencement de ses espaces, mais aussi au niveau de sa particularité architecturale – afin de restituer un parcours lisible et cohérent. Il s’est donc agi de suggérer une forme de continuité en proposant un système de module que l’on retrouve dans les trois espaces. Étant donné la forte identité du bâtiment, ces modules, qui tiennent lieu de cimaises, sont pensés de manière à apporter une certaine légèreté aux espaces et au parcours.
Manga 067
Code
LAU2
Lieu
Lausanne, Ch
Typologie(s)
Scénographie,
Échelle
M
Maîtrise d'ouvrage
Fondation
Matériaux
Bois, Médium, Miroir, Textile,
Mission
Concours,
Année
2019
L’exposition se déploie dans 4 espaces différents du Musée Olympique de Lausanne : Focus, Galerie, Art Lounge et le Parc.
Cette discontinuité met en évidence un travail en thématique, chaque espace ayant une ambiance et une fonction propre, tout en étant relié par des caractéristiques reconnaissables en termes de matérialité, avec une signalétique claire et une proposition de parcours depuis l’espace accueil qui donne au visiteur venu pour l’exposition permanente la volonté de découvrir et d’en savoir plus sur la prochaine olympiade et sur le pays qui l’accueillera.
Afin de s’immerger dans la culture et l’esprit sportif et olympique du Japon, le manga est un vecteur de connaissance aux formes multiples. Les supports imprimés, projetés ou animés auront leur importance, mais il sera aussi passionnant de découvrir et d’apprendre via des espaces immersifs thématiques dans lesquels les visiteurs expérimenteront à l’échelle de la page, du livre, de la pièce à vivre, de la maison, de la rue ou de la ville Japonaise, au travers de figures-clé de héros sportifs du manga qui ont marqué les générations européennes et imprégné notre mémoire. Il s’agit également d’allier plaisir et connaissance au travers d’une expérience intégrale, lors de laquelle il est possible de découvrir les relations particulières qu’entretiennent les Japonais avec les traditions, la nature, les saisons, l’école, la cuisine, la ville du futur ou encore la robotique. Il semble en cela intéressant d’ouvrir les sujets au maximum afin d’augmenter l’expérience visiteur et de l’adapter comme il se doit à la belle saison estivale en enrichissant le parc de zones confortables et ludiques.
L’exposition se déploie dans 4 espaces différents du Musée Olympique de Lausanne : Focus, Galerie, Art Lounge et le Parc.
Cette discontinuité met en évidence un travail en thématique, chaque espace ayant une ambiance et une fonction propre, tout en étant relié par des caractéristiques reconnaissables en termes de matérialité, avec une signalétique claire et une proposition de parcours depuis l’espace accueil qui donne au visiteur venu pour l’exposition permanente la volonté de découvrir et d’en savoir plus sur la prochaine olympiade et sur le pays qui l’accueillera.
Afin de s’immerger dans la culture et l’esprit sportif et olympique du Japon, le manga est un vecteur de connaissance aux formes multiples. Les supports imprimés, projetés ou animés auront leur importance, mais il sera aussi passionnant de découvrir et d’apprendre via des espaces immersifs thématiques dans lesquels les visiteurs expérimenteront à l’échelle de la page, du livre, de la pièce à vivre, de la maison, de la rue ou de la ville Japonaise, au travers de figures-clé de héros sportifs du manga qui ont marqué les générations européennes et imprégné notre mémoire. Il s’agit également d’allier plaisir et connaissance au travers d’une expérience intégrale, lors de laquelle il est possible de découvrir les relations particulières qu’entretiennent les Japonais avec les traditions, la nature, les saisons, l’école, la cuisine, la ville du futur ou encore la robotique. Il semble en cela intéressant d’ouvrir les sujets au maximum afin d’augmenter l’expérience visiteur et de l’adapter comme il se doit à la belle saison estivale en enrichissant le parc de zones confortables et ludiques.